Vous avez très certainement quelques portes chez, ne fut-ce qu'à l'entrée.

Beaucoup de malheurs vous arrivent (comme la biscotte, patiemment beurrée, tombe, sur le sol, du mauvais côté, se casse, fait des poussières partout, le chat marche dessus, le chien commence à courir après le chat et glisse sur cette malheureuse biscotte, répandant le beurre partout sur le sol ; tout ceci, c'est le coup des portes.

Alors ? Convaincu ? Non, ça ne métonne pas ! Après la lecture complète de cette catégorie, vous saurez que ...

TOUT N'EST QU'UN COUP MONTÉ PAR LES PORTES !

Une porte est un objet. Ce mot provient du latin porta, le latin étant une langue oubliée dans laquelle tous les articles de ce site seront traduits quand nous serons tous fous. Elle assure le passage entre deux pièces. Généralement, elle s'ouvre en tournant, mais, plus ingénieuse, elle peut s'ouvrir ... sur le côté, en glissant latéralement !

Seulement, une porte n'est pas que cet objet que je viens de vous présenter. Les portes sont des être maléfiques, créés par Satan lui même. D'ailleurs, pourquoi le rapport entre la largeur et la hauteur se termine-t-il toujours par 666 ? En effet, Satan lui-même s'ingénie tous les jours à faire des ouvertures de bonne largeur et de bonne hauteur pour qu'il soit toujours honoré.

C'est pour contrer cette malédiction que l'on dit que les portes ouvrent sur une pièce, ce qui est un sentiment positif : on vous parle d'ouverture (de pièce, d'esprit, aux autres, de porte), la porte est synonyme de tolérance. Alors que, en fait, quand on réfléchi un peu, on s'aperçoit que la porte n'est qu'un objet du MAL ! De SATAN !

De nos jours, les portes servent aussi beaucoup à empêcher les gens d'entrer. Leur but premier n'était-il pas de les faire entrer ? Satan est parmi nous, chers amis !

Itaque il faut se débarrasser des portes ! Si vous en avez chez vous, ENLEVEZ-LES ! Oui, ça fera des trous. Et quoi ? Vous préférez des trous ou le mal ? Les deux ? Bande de masos ! Ensuite, prenez une hache (ou une masse, ou une cognée, ou un autre outil du même gabarit), et fendillez-moi ces saloperies ! Il n'en faut plus que des alumettes ! Ensuite, brûlez-les. C'est la seule est unique manière de les débarasser du mal qu'elles contiennent.